Le conte - révision
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13 questions
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Il était une fois une famille de bûcherons qui habitait dans la forêt. Il y avait le père, la mère et leurs sept enfants, tous des garçons. Le plus jeune était aussi petit qu'un pouce.
Il était une fois une famille de bûcherons qui habitait dans la forêt. Il y avait le père, la mère et leurs sept enfants, tous des garçons. Le plus jeune était aussi petit qu'un pouce.
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Un jour, sa mère, ayant fait cuire des galettes, lui dit: "Va voir comment se porte ta grand-mère, à l'autre bout de la forêt, car on m'a dit qu'elle était malade. Apporte-lui une galette et ce petit pot de beurre."
Un jour, sa mère, ayant fait cuire des galettes, lui dit: "Va voir comment se porte ta grand-mère, à l'autre bout de la forêt, car on m'a dit qu'elle était malade. Apporte-lui une galette et ce petit pot de beurre."
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Le loup gonfla ses joues, souffla, souffla de toutes ses forces, et la maison de paille s'envola. Le petit cochon s'enfuit aussitôt.
Le loup gonfla ses joues, souffla, souffla de toutes ses forces, et la maison de paille s'envola. Le petit cochon s'enfuit aussitôt.
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Alors elle vint saluer le fils du roi, qui lui tendit le soulier d'or. Elle s'assit sur un tabouret, retira son pied du lourd sabot de bois et le mit dans la pantoufle qui lui allait comme un gant.
Alors elle vint saluer le fils du roi, qui lui tendit le soulier d'or. Elle s'assit sur un tabouret, retira son pied du lourd sabot de bois et le mit dans la pantoufle qui lui allait comme un gant.
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Au bout de cent ans, le fils du roi, qui était d'une autre famille que la princesse endormie, étant allé à la chasse de ce côté-là, demanda ce que c'était que ces tours d'un château qu'il voyait au-dessus d'un grand bois fort épais.
Au bout de cent ans, le fils du roi, qui était d'une autre famille que la princesse endormie, étant allé à la chasse de ce côté-là, demanda ce que c'était que ces tours d'un château qu'il voyait au-dessus d'un grand bois fort épais.
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Il était une fois un riche marchand, père de trois belles filles et de trois fils. Un jour, il se retrouva ruiné. La cadette, que l'on nommait La Belle Enfant, préférait lire et refuser tous les jeunes hommes qui voulaient l'épouser.
Il était une fois un riche marchand, père de trois belles filles et de trois fils. Un jour, il se retrouva ruiné. La cadette, que l'on nommait La Belle Enfant, préférait lire et refuser tous les jeunes hommes qui voulaient l'épouser.
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La reine demanda: "Miroir, gentil miroir, dis-moi, dans le royaume, qui est la femme la plus belle?"
La reine demanda: "Miroir, gentil miroir, dis-moi, dans le royaume, qui est la femme la plus belle?"
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Il arriva qu'un jour d'orage, le roi entra au moulin et demanda aux meuniers si ce grand garçon était leur fils.
Il arriva qu'un jour d'orage, le roi entra au moulin et demanda aux meuniers si ce grand garçon était leur fils.
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Il était une fois une veuve qui avait deux filles ; l'ainée lui ressemblait si fort d'humeur et de visage que quiconque la voyait voyait sa mère.
Il était une fois une veuve qui avait deux filles ; l'ainée lui ressemblait si fort d'humeur et de visage que quiconque la voyait voyait sa mère.
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Le prince donna un baiser à la princesse et elle se réveilla de son long sommeil.
Le prince donna un baiser à la princesse et elle se réveilla de son long sommeil.
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À partir de ce moment-là, Ali Baba et son fils profitèrent de leur fortune et vécurent dans la richesse et respectés par les personnages importants de la ville.
À partir de ce moment-là, Ali Baba et son fils profitèrent de leur fortune et vécurent dans la richesse et respectés par les personnages importants de la ville.
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Jamais plus on ne revit le génie.
Jamais plus on ne revit le génie.
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Le garçon qui criait au loup
A. Un jour qu'il s'ennuyait particulièrement, il grimpa sur la colline qui dominait le village et il hurla: "Au loup! Un loup dévore le troupeau!" À ces mots, les villageois bondirent hors de leurs maisons et grimpèrent sur la colline pour chasser le loup. Mais ils ne trouvèrent que le jeune garçon qui riait comme un fou de son bon tour. Ils rentrèrent chez eux très en colère, tandis que le berger retrournait à ses moutons en riant toujours.
B. Enfin, un soir d'hiver, alors que le berger rassemblait son troupeau pour le ramener à la bergerie, un vrai loup approcha des moutons... Le berger eut grand peur. Ce loup semblait énorme et il n'avait que son bâton pour se défendre... Il se précipita sur la colline et hurla: "Au loup! Un loup dévore le troupeau!" Mais pas un villageois ne bougea... "Encore une vieille farce! dirent-ils tous. S'il y a un vrai loup, eh bien, qu'il mange ce menteur de berger!"
C. Et c'est exactement ce que fit le loup!
D. Il était une fois un jeune berger qui gardait tous les moutons des habitants de son village. Certains jours, la vie sur la colline était agréable et le temps passait vite. Mais parfois, le jeune homme s'ennuyait.
E. Environ une semaine plus tard, le jeune homme qui s'ennuyait de nouveau grimpa sur la colline et se remit à crier: "Au loup! Un loup dévore le troupeau!" Une nouvelle fois, les villageois se précipitèrent pour le secourir. Mais point de loup, rien que le berger qui se moquait d'eux. Furieux de s'être fait avoir une autre fois, ils redescendirent au village. Le berger prit ainsi l'habitude de leur jouer régulièrement son tour... Et chaque fois, les villageois bondissaient sur la colline pour trouver un berger qui riait comme un fou!
Le garçon qui criait au loup
A. Un jour qu'il s'ennuyait particulièrement, il grimpa sur la colline qui dominait le village et il hurla: "Au loup! Un loup dévore le troupeau!" À ces mots, les villageois bondirent hors de leurs maisons et grimpèrent sur la colline pour chasser le loup. Mais ils ne trouvèrent que le jeune garçon qui riait comme un fou de son bon tour. Ils rentrèrent chez eux très en colère, tandis que le berger retrournait à ses moutons en riant toujours.
B. Enfin, un soir d'hiver, alors que le berger rassemblait son troupeau pour le ramener à la bergerie, un vrai loup approcha des moutons... Le berger eut grand peur. Ce loup semblait énorme et il n'avait que son bâton pour se défendre... Il se précipita sur la colline et hurla: "Au loup! Un loup dévore le troupeau!" Mais pas un villageois ne bougea... "Encore une vieille farce! dirent-ils tous. S'il y a un vrai loup, eh bien, qu'il mange ce menteur de berger!"
C. Et c'est exactement ce que fit le loup!
D. Il était une fois un jeune berger qui gardait tous les moutons des habitants de son village. Certains jours, la vie sur la colline était agréable et le temps passait vite. Mais parfois, le jeune homme s'ennuyait.
E. Environ une semaine plus tard, le jeune homme qui s'ennuyait de nouveau grimpa sur la colline et se remit à crier: "Au loup! Un loup dévore le troupeau!" Une nouvelle fois, les villageois se précipitèrent pour le secourir. Mais point de loup, rien que le berger qui se moquait d'eux. Furieux de s'être fait avoir une autre fois, ils redescendirent au village. Le berger prit ainsi l'habitude de leur jouer régulièrement son tour... Et chaque fois, les villageois bondissaient sur la colline pour trouver un berger qui riait comme un fou!